littérature & sciences humaines
Revue littéraire thématique et illustrée, mêlant essais et fictions d’auteurs anciens et modernes. Revue périodique.
1 2 3 4 5 Dessin original de Gabriel Pardon. Gravures de Brueghel l’Ancien et de Daniel Hopfer. À l’occasion du Printemps des poètes 2018, la revue L’Eau-forte fait paraître son deuxième numéro, sur un thème en clin d’œil au tableau de Pieter Bruegel, Carnaval contre Carême...(En savoir plus)Revue littéraire L’Eau-forte n°2
Carnaval contre Carême
« ». Dessins de Claire Diverres.
Paru en décembre 2017, le premier numéro de la revue L’Eau-forte, « Le Jadis et l’aube » annonce la démarche de cette parution : le dialogue entre essais, poèmes ou contes à travers les siècles, en mêlant les textes du patrimoine littéraire aux créations contemporaines de jeunes auteurs et artistes...(En savoir plus)
Conte & poésie
L’Eau-forte est une revue de littératures classique et contemporaine. Trimestrielle, elle aborde à chaque numéro une thématique, occasion d’une promenade littéraire ponctuée de gravures anciennes, ou de dessins d’artistes d’aujourd’hui.
Tous les trois mois, L’Eau-forte adopte une thématique liée à un phénomène, ou à une notion, choisie en écho à la saison de sa parution. Chaque numéro parcourt ainsi des disciplines diverses, au fil d’un dialogue entre ses auteurs et des textes classiques, ou curieux, du patrimoine littéraire : connaissance de l’art et des mythes, histoire littéraire, sociologie...
Gravures anciennes et dessins d’artistes se mêlent à ce dialogue littéraire, entre anciens et modernes.
Il y a tout lieu d’imaginer qu’une esthétique tout droit issue du xixe siècle, appelant Meryon ou Rops, préside à l’intitulation de la publication qui manifeste dans la continuité le goût des textes vraiment choisis et des émotions littéraires durables.
Éric Dussert
Fondée en décembre 2017, la revue a abordé des thématiques témoignant de l’histoire des sociétés et des mentalités : les festivités du carnaval (« Carnaval contre Carême », mars 2018) ou l’ivresse associée à la saison automnale (« Ivresse bucolique », septembre 2018) ; la disparition et le vide laissé par les personnes disparues (« Évaporés », décembre 2018) ; l’activité de faussaire et les notions d’authenticité (« Faussaires », septembre 2020), etc.
Des matières (« Étoffes », décembre 2019), des concepts parfois (« Corps et âme », juillet 2019), sont aussi l’occasion d’interroger une histoire de l’humanité.